À l'ombre d'une histoire (de la musique) désormais céleste, écrite en partie dans les caves et les rues d'un Berlin de 1977, dont les passants, que l'on croise parfois, ressemblaient à David Bowie et Tony Visconti.
Carsten Nicolai ouvre une séquence réinterprétative de l'une des basses fréquences, qui font qu''une trilogie, puisse devenir un sanctuaire.
On peut, si d'aventure on le désire, regretter le classicisme de l'ouvrage, qui outre, la présence de Martin L.Gore et William Basinski, demeure assez fidèle à la version originale.
Cet hommage de circonstance, référent à l'histoire personnelle de Alva Noto, force toutefois le même déférent respect que celui des protagonistes à l'égard de l'auteur.
In the shadow of a now celestial history (of music), partly written in the cellars and streets of a Berlin of 1977, whose passers-by, whom we sometimes meet, resembled to David Bowie and Tony Visconti.
Carsten Nicolai opens a reinterpretative sequence of one of the low frequencies, which make a trilogy, can become a sanctuary.
thierry massard / 16 décembre 2022 - 13:59
Carsten Nicolai opens a reinterpretative sequence of one of the low frequencies, which make a trilogy, can become a sanctuary.
We can, if by chance we wish it, regret the classicism of the work, which besides, the presence of Martin L. Gore and William Basinski, remains rather faithful to the original version.
However, this tribute of circumstance, referring to the personal history of Alva Noto, commands however the same deferential respect, as that of the protagonists with regard to the author.