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Wolfgang Flür :: magazine 1

Quiconque découvre (tardivement) les talents de l'ex-robot, s'accordera pour rapidement oublier sa carrière littéraire et son retour d'expérience. Wolfgang fut probablement une composante nécessaire aux très riches heures des mannequins, mais son afterwork souffre, pourtant et aussi, du dommageable manque de reconnaissance pour une production sonore, qu'il convenait d'apprécier à sa juste mesure. 

Ainsi son "Time Pie" de l'épigone YAMO mériterait d'avantage que de simples mots, laissés derrière soi, à la faveur hasardeuse d'une actualité discographique présente - injustice de la lumière.

Wolfgang Flür peut-il être assimilé au même destin que son comparse, Karl Bartos ? Voici une question à laquelle il est aisé de répondre, à la hauteur d'un comparatif séquentiel. Si le premier a étonnamment pris une distance radicale, au point de s'interroger sur les motivations de sa longévité kraftwerkienne, le second a, avouons-le, délibérément tenté, non sans parfois y réussir, de tirer quelques marrons du sillage de la locomotive. 

Sortie d'une heureuse retraite, voici-donc un MAGAZINE 1 dont le sommaire puisse avoir quelques bénéfiques résonances dans le coeur nostalgique des enfants du XXème siècle. Un name dropping pour le moins édifiant (Carl Cox, Peter Hook, Claudia Brücken, Juan Atkins, Midge Ure ...) gloires en passe de l'avoir été, acteurs ou vivants témoins d'un temps où la musique "électronique" pouvait encore infléchir, les déclarations crétines et assassines du bassiste gouailleur officiant chez Motörhead.

Si, enfin, il est fort peu probable, que la lumière ne rejaillisse à jamais, faute d'un véritable leadership assumé, ce magazine a, comme les autres, un temps pour être feuilleté ou lu, avant qu'il ne jaunisse inexorablement.

thierry massard / 5 mai 2022 - 12:08


Anyone who discovers (lately) the talents of the ex-robot, will agree to quickly forget his literary career and the feedback. Wolfgang was probably a necessary component to the very rich hours of the models, but his afterwork suffers, however and also, from the damaging lack of recognition for a sound production, which should be appreciated in its fair measure.

Thus his "Time Pie" under the epigone YAMO deserves more than some simple words, left behind, in the hazardous favor of a present discographic news - injustice of lights in the back office.

Can Wolfgang Flür be assimilated to the same fate as his sidekick, Karl Bartos ? Here is a question that is easy to answer, up to a sequential comparison. If the first has surprisingly taken a radical distance, to the point of questioning the motivations of his Kraftwerkian longevity, the second has, let's face it, deliberately tried, not without sometimes succeeding, to pull a few chestnuts from the wake of the locomotive .

Coming out of a happy retirement, here is a MAGAZINE 1 whose contents may have some beneficial resonances in the nostalgic hearts of children of the 20th century. An edifying name drop (Carl Cox, Peter Hook, Claudia Brücken, Juan Atkins, Midge Ure ...) glories about to have been, actors or living witnesses of a time when "electronic" music could still bend , the stupid murderous declarations of the cheeky bass player officiating at Motörhead.

If, finally, it is very unlikely that the light will shine forever, for lack of a real assumed leadership, this magazine, like the others, has a time to be leafed through or read, then inexorably will turn yellow.

⚪️ magazine one / cherry red records

Punishment of Luxury :: Puppet Life / the complete recordings


Il y a ceux qui arpentent les rues de Newcastle en rêvant depuis toujours. 
Il y a, bien sur, ceux qui ont ri plus qu'il ne le fallait, en pareil situation, dans cette somptueuse académie. Il y a même des rédacteurs de nocoVision qui ne se remettront jamais de "the message" pas plus que l'on ne puisse se remettre, un jour, de la rencontre d'un oiseau et d'un éléphant.

Ouvrez-vite cette merveilleuse boîte de Pandore !

thierry massard / 3 décembre 2019 - 17:45

There are those who walk the streets of Newcastle dreaming forever. 
There are, of course, those who laughed more than necessary, in such a situation, in this sumptuous academy. There are even nocoVision reviewers who will never get over "the message" any more than we can ever get over the encounter of a bird and an elephant.

Quickly open this wonderful Pandora's box!