Ciel bleu - Une magnifique journée de mai, comme nous les aimons.
Si l'envie d'Espace vous surprend, ce n'est qu'un rêve éveillé, Andreas et Sven, le savent si bien, l'art de voyager, enfin, entre les lignes, les strates, l'appel du vide absolu et le soleil couchant de Nik.
Si cette histoire en est une, elle est celle d'une terre endormie, mais seulement ... en apparence. Il faut, pour s'en convaincre, que Oberlin en trace élégamment les contours.
Pourquoi s'en faire ? On ne perdra rien ! Pas une miette de Yasen Penchev, convoqué à plusieurs reprises au parloir, pas un embrasement visuel de Angel Dragonov. Rien ! Nada !
Parvenu à ce stade, un communique est parfois nécessaire. MM. Nicholas Maloney et Dominic Razlaff s'en chargent - Un instant de quiétude ? Seul, SEVENSY en possède les codes et les clés.
Les lumières de Mahorka sont parfois insidieusement féroces, qui ne supportent pas les molles itérations du dogme et du stéréotype, Patrick Masson le sait parfaitement, travailleur dévolu à la maîtrise de l'art de synthèse. Ici, les solitudes de Petr ne sont jamais fictives, les berceuses font, heureusement, fuir les enfants sages et les autres. Ici, "Tout se dissous" dans un clair-obscur de conscience éclairée, un éclairage sans concession. Une vibrante interrogation des choses et du sens (upside.down) de celles-ci.
Ivo Petrov, parvenu enfin à la porte du vaste hangar, aux parois d'aurores boréales, conserve son sourire, il pense un instant aux toits de Paris enneigés, se ravise, reprend sa marche, il fait si beau aujourd'hui.
Тиери Масард / 16 mai 2022 - 18:14
◉ Planck Tone #21 - Плевен mix (w/ thierry massard)
Blue sky - A gorgeous May day, just the way we like them. Ivo Petrov is walking through the streets of Pleven with a smile on his face. Stop for a moment in front of a shop window, before resuming his walk, a thought for a french "sonic boy" escaped from TFSL, a memory, over there - March 2018, an exchange, the redemption of words, words buried, a silence, a murmur, finally sweeping away the intention to be silent, for a saxophone and the incandescent brilliance. The colors, a sensory acceleration, the flow and the whimsical error of Nummela, the virtual lights of Varna which turn on again, the past, the present, and certainly the future, jostled ruthlessly, the memory of an opacity in movement and an "ultimo viaje" from Miguel, unless it's the lights of a city at 2 am. It will certainly take the uppercut of a "number 12" for the awakening to be complete. Like Marc Ceulemans, Ikipr also always keeps his promises.