curieux méandres, croisant dans un semi-rêve cinématographique, Barbarella et ses improbables rayons laser ricochant sur la transparence plastique, une étonnante gravité mélodique (cave) entichée de fréquences en écho, aride post-glaciation d'une mémoire de dancefloor et si d'aventure, le jeu venait à s'achever, vous n'aurez assurément pas à regretter de ne pas avoir oublier, vos jambes.
:: kreislauf
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:: Josh Winiberg
© thierry massard / janvier 2010
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