Affichage des articles dont le libellé est Murcof. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Murcof. Afficher tous les articles

BЯOMO :: no signal - remixed - vol.2



Trahissant, depuis l'automne, le parachèvement du titre original du meilleur (à ce jour) opus du duo BЯOMO, le label Oigovisiones démultiplie les signaux, à l'instar de ce second volet de remixes, parfaite continuité de l'enthousiasmant travail entrepris par la base spatiale, qu'est devenue la ville espagnole de Málaga, reléguant ainsi et désormais, Kourou, Cap Canaveral, Baïkonour ou Kwajalein, au statut peu enviable de musées préhistoriques.

Circonspection absolue, pour THE LACEMAKER, qui ouvre un volume deux avec un inquiétant désert de noirceur stellaire, profondes et multiples dimensions, mais, peut-être, aviez-vous quelque peu oublié le postulat initial de Paloma Peñarrubia & Azael Ferrer, no signal !
Dévoilant une nouvelle arborescence de "Helium 3", CARADUSANTO y assemble une construction sonore mutante dont les rhizomes expansifs semblent se tordre, en se prolongeant indéfiniment.
Si le "no signal" de CLARAGUILAR devient une ombre, un souvenir sepia, un écho métamorphose, le miroir ne tarde pas à être brisé, alchimie d'un passé projeté au dela d'une ligne d'horizon éphémère.
Méthodique et technique, ANIMATEK déroule également "no signal", lui infligeant une puissante accélération, condensant un révélateur technoide.
MURCOF, bien décidé à oublier une ancienne expérience personnelle (Cosmos) malencontreuse, Fernando Corona renoue avec sa propre quintessence, offrant ainsi, à "Radiation", un écrin véritable de joaillerie, luxe particulaire alangui et témoignage du talent, heureusement préservé, de l'hombre de Tijuana.
Que dire de la splendide interprétation conditionnelle de "Copuos" par NACHO ROMÁN, succulentes suspensions et soundscapes raffinés pour une infinitude.
Entrant, à leur tour, en pleine lumière, le trio CRAVAT démontre, une fois encore, que nous sommes désormais en impérative attente d'en avoir toujours plus. Ne tardons pas trop, voulez-vous.
Stricto tempo, rappel à l'ordre, obligeamment référents à une abstraction aussi attentive que terriblement définitive, CRUHDA et FLOW LAB KID délivrent et accentuent les affres monstrueux de "Military space". Un tour de force en retenue, aussi implacable que sombre et ardemment menacant. Impressionnants ! Prosélytisme, les radiations de YLIA, sont aussi contagieuses que nulle vaccin ou capsule d'iode ne puissent en venir à bout.

Tenter de fuir ce volume 2 est aussi improbable que parfaitement inutile et vain.

thierry massard / 16 novembre 2022 - 14:41



no signal
no signal / nocoVision review

Traicionando, desde la caída, la finalización del título original de la mejor (hasta la fecha) obra del dúo BЯOMO, el sello Oigovisiones multiplica las señales, como esta segunda parte de remixes, perfecta continuidad del apasionante trabajo emprendido por la base espacial, que ahora se ha convertido en la ciudad española de Málaga, relegando ahora a Kourou, Cabo Cañaveral, Baïkonour o Kwajalein, al poco envidiable estatus de museos prehistóricos.

Absoluta circunspección, para THE LACEMAKER, que abre el volumen dos con un inquietante desierto de oscuridad estelar, profunda y multidimensional, pero, quizás, se te había olvidado un poco el postulado inicial de Paloma Peñarrubia & Azael Ferrer, no signal !
Revelando una nueva arborescencia de "Helio 3", CARADUSANTO ensambla allí una construcción sonora mutante cuyos rizomas expansivos parecen retorcerse, extendiéndose indefinidamente.
Si el "no signal" de CLARAGUILAR se convierte en sombra, memoria sepia, eco metamorfoseado, el espejo pronto se romperá, la alquimia de un pasado proyectado más allá de una efímera línea de horizonte.
Metódico y técnico, ANIMATEK también despliega "sin señal", infligiéndole una poderosa aceleración, condensando un revelador technoid.
MURCOF, decidido a olvidar una vieja experiencia personal desafortunada (Cosmos), Fernando Corona reencuentra con su propia quintaesencia, ofreciendo así, a "Radiación", un verdadero joyero, lánguido lujo particulado y testimonio del talento, afortunadamente conservado, del hombre de tijuana.
Qué decir de la espléndida interpretación condicional de "Copuos" de NACHO ROMÁN, suculentas suspensiones y refinados paisajes sonoros para una infinidad.
Entrando, a su vez, a plena luz, el trío CRAVAT demuestra, una vez más, que ahora estamos a la espera imperiosa de tener cada vez más. No nos demoremos mucho, por favor.
Stricto tempo, llamada al orden, refiriéndose amablemente a una abstracción tan atenta como terriblemente definitiva, CRUHDA y FLOW LAB KID entregan y acentúan las angustias monstruosas del "Military space". Un tour de force en moderación, tan implacable como oscuro y ardientemente amenazante. ¡Impresionante! El proselitismo, las radiaciones de YLIA, son tan contagiosas como ninguna vacuna o cápsula de yodo puede superar.

Intentar huir de este volumen 2 es tan improbable como perfectamente inútil y vano.

(( traducción de google ... ))

MURCOF
CRAVAT
CRUHDA
YLIA

Murcof :: cosmos


After a "remembrenza" which had evil to convince, here is a very monumental and so pretentious "cosmos" - In reason of a strange lack of concentration to preserve the immense charisma of the early days, Murcof is probably and surely definitively mislaid somewhere between Tijuana and the suburbs of the solar system - unfortunately for Fernando Corona, and as was said somewhere in Miss Helen Ripley's area "In space, no one can hear you scream." ...