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Planck Tone #21 - Плевен mix (w/ thierry massard)
Ciel bleu - Une magnifique journée de mai, comme nous les aimons.
Si l'envie d'Espace vous surprend, ce n'est qu'un rêve éveillé, Andreas et Sven, le savent si bien, l'art de voyager, enfin, entre les lignes, les strates, l'appel du vide absolu et le soleil couchant de Nik.
Si cette histoire en est une, elle est celle d'une terre endormie, mais seulement ... en apparence. Il faut, pour s'en convaincre, que Oberlin en trace élégamment les contours.
Pourquoi s'en faire ? On ne perdra rien ! Pas une miette de Yasen Penchev, convoqué à plusieurs reprises au parloir, pas un embrasement visuel de Angel Dragonov. Rien ! Nada !
Parvenu à ce stade, un communique est parfois nécessaire. MM. Nicholas Maloney et Dominic Razlaff s'en chargent - Un instant de quiétude ? Seul, SEVENSY en possède les codes et les clés.
Les lumières de Mahorka sont parfois insidieusement féroces, qui ne supportent pas les molles itérations du dogme et du stéréotype, Patrick Masson le sait parfaitement, travailleur dévolu à la maîtrise de l'art de synthèse. Ici, les solitudes de Petr ne sont jamais fictives, les berceuses font, heureusement, fuir les enfants sages et les autres. Ici, "Tout se dissous" dans un clair-obscur de conscience éclairée, un éclairage sans concession. Une vibrante interrogation des choses et du sens (upside.down) de celles-ci.
Ivo Petrov, parvenu enfin à la porte du vaste hangar, aux parois d'aurores boréales, conserve son sourire, il pense un instant aux toits de Paris enneigés, se ravise, reprend sa marche, il fait si beau aujourd'hui.
Тиери Масард / 16 mai 2022 - 18:14
◉ Planck Tone #21 - Плевен mix (w/ thierry massard)
Blue sky - A gorgeous May day, just the way we like them. Ivo Petrov is walking through the streets of Pleven with a smile on his face. Stop for a moment in front of a shop window, before resuming his walk, a thought for a french "sonic boy" escaped from TFSL, a memory, over there - March 2018, an exchange, the redemption of words, words buried, a silence, a murmur, finally sweeping away the intention to be silent, for a saxophone and the incandescent brilliance. The colors, a sensory acceleration, the flow and the whimsical error of Nummela, the virtual lights of Varna which turn on again, the past, the present, and certainly the future, jostled ruthlessly, the memory of an opacity in movement and an "ultimo viaje" from Miguel, unless it's the lights of a city at 2 am. It will certainly take the uppercut of a "number 12" for the awakening to be complete. Like Marc Ceulemans, Ikipr also always keeps his promises.Wolfgang Flür :: magazine 1
Quiconque découvre (tardivement) les talents de l'ex-robot, s'accordera pour rapidement oublier sa carrière littéraire et son retour d'expérience. Wolfgang fut probablement une composante nécessaire aux très riches heures des mannequins, mais son afterwork souffre, pourtant et aussi, du dommageable manque de reconnaissance pour une production sonore, qu'il convenait d'apprécier à sa juste mesure.
Ainsi son "Time Pie" de l'épigone YAMO mériterait d'avantage que de simples mots, laissés derrière soi, à la faveur hasardeuse d'une actualité discographique présente - injustice de la lumière.
Wolfgang Flür peut-il être assimilé au même destin que son comparse, Karl Bartos ? Voici une question à laquelle il est aisé de répondre, à la hauteur d'un comparatif séquentiel. Si le premier a étonnamment pris une distance radicale, au point de s'interroger sur les motivations de sa longévité kraftwerkienne, le second a, avouons-le, délibérément tenté, non sans parfois y réussir, de tirer quelques marrons du sillage de la locomotive.
Sortie d'une heureuse retraite, voici-donc un MAGAZINE 1 dont le sommaire puisse avoir quelques bénéfiques résonances dans le coeur nostalgique des enfants du XXème siècle. Un name dropping pour le moins édifiant (Carl Cox, Peter Hook, Claudia Brücken, Juan Atkins, Midge Ure ...) gloires en passe de l'avoir été, acteurs ou vivants témoins d'un temps où la musique "électronique" pouvait encore infléchir, les déclarations crétines et assassines du bassiste gouailleur officiant chez Motörhead.
Si, enfin, il est fort peu probable, que la lumière ne rejaillisse à jamais, faute d'un véritable leadership assumé, ce magazine a, comme les autres, un temps pour être feuilleté ou lu, avant qu'il ne jaunisse inexorablement.
thierry massard / 5 mai 2022 - 12:08
Anyone who discovers (lately) the talents of the ex-robot, will agree to quickly forget his literary career and the feedback. Wolfgang was probably a necessary component to the very rich hours of the models, but his afterwork suffers, however and also, from the damaging lack of recognition for a sound production, which should be appreciated in its fair measure.
Thus his "Time Pie" under the epigone YAMO deserves more than some simple words, left behind, in the hazardous favor of a present discographic news - injustice of lights in the back office.
Can Wolfgang Flür be assimilated to the same fate as his sidekick, Karl Bartos ? Here is a question that is easy to answer, up to a sequential comparison. If the first has surprisingly taken a radical distance, to the point of questioning the motivations of his Kraftwerkian longevity, the second has, let's face it, deliberately tried, not without sometimes succeeding, to pull a few chestnuts from the wake of the locomotive .
Coming out of a happy retirement, here is a MAGAZINE 1 whose contents may have some beneficial resonances in the nostalgic hearts of children of the 20th century. An edifying name drop (Carl Cox, Peter Hook, Claudia Brücken, Juan Atkins, Midge Ure ...) glories about to have been, actors or living witnesses of a time when "electronic" music could still bend , the stupid murderous declarations of the cheeky bass player officiating at Motörhead.
If, finally, it is very unlikely that the light will shine forever, for lack of a real assumed leadership, this magazine, like the others, has a time to be leafed through or read, then inexorably will turn yellow.
⚪️ magazine one / cherry red records